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Après s’être intéressé à la maladie ( Vivre autrement ) et à la mort ( Vivre jusqu’au bout ), le journaliste Mario Proulx propose une nouvelle série radiophonique diffusée sur les ondes de la radio de Radio-Canada : Une enfance pour la vie .

En cinq épisodes, il explore avec sa collaboratrice, les fondations de cette période de la vie et se questionne : Pourquoi parmi les enfants ayant connu des réalités familiales similaires (heureuses ou malheureuses), certains s’en sortent et d’autres pas?

Pour tenter de répondre à cette épineuse question, les journalistes ont enquêté auprès de 60 personnes, dont des auteurs ou chercheurs qui se sont intéressés à l’enfance (Élisabeth Badinter, Boris Cyrulnik, Camil Bouchard …) et des personnalités québécoises (Lise Dion, Jean-René Dufort, Pascale Montpetit…).

Dans le premier épisode intitulé «Des parents inadéquats», Élisabeth Badinter, auteure de Conflit : la femme et la mère , affirme que les couples qui, après réflexion décident de ne pas avoir d’enfants, sont plus souvent questionnés dans la société que ceux qui en ont, malgré leur situation peu adéquate pour fonder une famille (toxicomanie, névrose) Troublant…

Cette série documentaire se poursuit aujourd’hui, jusqu’à vendredi à travers les thèmes de l’enfant-roi, la violence et la maltraitance, la société et l’enfance, ainsi que la naissance. Une fois diffusés, les épisodes seront accessibles sur le site web de Radio-Canada. Comme pour ses autres séries documentaires, Mario Proulx a également produit un livre où il a compilé plusieurs des témoignages recueillis au cours de son enquête.

Une enfance pour la vie
Du 28 mars au 1er avril 2011 de 13h à 14h au 95.1 FM.
(en rediffusion à 21h)

Il y a certains soirs où je reste songeuse devant mon garde-manger… Riz ou pâtes? Aucun des deux, j’ai envie de changement. Ah, il y a bien cette boîte de quinoa que j’avais acheté il y a quelques temps, poussée par une envie de variété, mais je ne sais jamais vraiment quoi faire avec. D’autant plus que mon amoureux aime les mets élaborés.

Vous devinerez alors ma joie quand est arrivé la semaine dernière sur un coin de mon bureau, l’ouvrage Quinoa Extra, 170 recettes craquantes , de Patricia Green et Carolyn Hemming. Un livre illustré par des photos appétissantes qui propose des idées pour apprêter cette fabuleuse graine à toutes les sauces, du déjeuner au souper, en passant par les desserts.

Fabuleuse parce qu’en plus d’avoir bon goût, elle a des vertus non négligeables pour notre santé. Doté d’une forte teneur en fibres et en protéines, le quinoa est particulièrement intéressant pour les végétariens et les intolérants au gluten car il est en est dépourvu. Mais pour les autres, il permet tout simplement de varier les menus, et vous donnera peut-être des idées pour vos lundis sans viande !

Et parce que je tiens absolument à partager cette découverte avec vous, j’offre quatre exemplaires de ce livre aux premières lectrices qui commenteront ce billet.
Julia Haurio
Édimestre www.vitamagazine.ca

Les cosmétiques Covergirl soufflent leurs 50 bougies cette année. À cette occasion, la marque a demandé à Vita de sonder ses lectrices, afin de savoir ce que la beauté signifiait pour elles, au-delà de cet âge. Des idées?

Pour vous exprimer sur le sujet, il suffit de laisser un commentaire sur ce blogue. Les meilleurs seront choisis pour figurer dans la version papier du magazine cet été.

Je suis personnellement encore loin de la cinquantaine, mais il me semble qu’avec l’âge, la beauté prend de la profondeur. J’ai le sentiment qu’en se connaissant mieux, en choisissant le style qui nous ressemble vraiment, on cesse de se déguiser et rayonne davantage.

Et vous? Qu’en pensez-vous? Que vous approchiez la cinquantaine, que vous fêtiez vos 50 ans cette année, comme Covergirl, ou bien que vous ayez passé le cap depuis quelques temps déjà, nous voulons savoir ce que la beauté signifie pour vous. Nous avons hâte de vous lire!

Julia Haurio, édimestre www.vitamagazine.ca

Cette année, la Journée internationale de la femme fête ses 100 ans. Un siècle ce n’est pas rien, et pourtant de nombreuses femmes dans le monde travailleront dur aujourd’hui sans savoir que leur courage et leur force sont soulignées dans de nombreux pays.

Même si le parcours d’une femme exceptionnelle peut être mis de l’avant n’importe quel jour de l’année, le 8 mars, on entend plus d’histoires inspirantes. C’est une occasion particulière de faire connaître une femme que l’on admire.

C’est ce qu’a fait la photojournaliste Léa Clermont-Dion dans ce billet publié sur le site d’Oxfam-Québec . Elle y raconte l’histoire de Laurence Hema qu’elle a côtoyée lors d’un séjour au Burkina Faso. Présidente d’une association de femmes, Laurence qui a eu la chance de pouvoir aller à l’école, est «la preuve vivante que l’éducation fait la différence», dit Léa.

Léa, elle aussi est une (jeune) femme inspirante. De son séjour au Burkina Faso, l’initiatrice de la Charte de l’image corporelle saine et diversifiée a sélectionné une série de portraits qu’elle a réunis sous le projet «Banfora en 30 visages ». Une galerie de 30 clichés qui rendent compte avec authenticité des moments partagés avec les membres de cette communauté.

Julia Haurio
édimestre www.vitamagazine.ca