Arthrite : les trucs de Debbie Travis
Septembre, c’est le début de l’automne, la rentrée, mais saviez-vous que c’était aussi le mois de
l’arthrite?
Cette maladie inflammatoire qui peut frapper dès la vingtaine, touche un adulte sur six au Canada, dont les deux tiers sont des femmes.
La designer
Debbie Travis
, animatrice, productrice et femme d’affaires , était de passage à Montréal le 15 août dernier dans le cadre d’une tournée visant à sensibiliser le public à l’impact que peut avoir l’arthrite sur le quotidien.
C’est après avoir participé à une expédition au Machu Picchu avec des jeunes atteints d’arthrite il y a cinq ans qu’elle a choisi de faire la promotion d’une bonne santé articulaire et des moyens de contrôle de l’arthrite.
La designer insiste surtout sur les solutions qui existent pour contrôler cette maladie et faire ainsi réaliser aux gens qu’il est important de ne pas tarder à consulter un médecin, et ce, dès l’apparition des premiers symptômes.
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Se faire injecter
une dose de Botox
dans une ambiance de 5 à 7, entourée de collègues et amies? Un concept qui a ses partisans et ses détracteurs Cette fin de semaine, le quotidien La Presse consacrait
ses deux premières pages
à ces réunions “nouveau genre” qui suscitent curiosité et méfiance.
Certains voient en ces soirées un bon coup de marketing. Ainsi, des femmes réticentes à l’idée d’utiliser le Botox au départ, pourraient très bien se faire entraîner par l’effet de groupe.
Avoir recours à la chirurgie esthétique ou à ce genre de traitement est un choix bien personnel et non léger de conséquences. «Le Botox est addictif. Ses effets ne durent pas éternellement (de trois à six mois, en fait), alors les femmes veulent toujours y revenir.» dénonce la sexologue Jocelyne Robert dans l’article de La Presse.
Notre collaboratrice Aline Apostolska le confirme dans
un de ses récents billets
: «(…)goûter à la médecine esthétique, c’est comme boire un p’tit verre de punch. Pourquoi pas un deuxième?» Dans son cas, le professionnel qu’elle a consulté l’a mise en garde sur les effets addictifs du Botox, lui permettant de faire un choix éclairé.
Mais lorsqu’un DJ, des petits bouchées et des coupes de champagne font partie du décor, est-ce que les conditions sont adéquates pour une telle décision? Je me le demande. Qu’en pensez-vous? Êtes-vous pour ou contre ce genre de soirées? Avez-vous déjà essayé? Nous aimerions vous lire sur le sujet!
Objectif monde
Le concours du
World Press phot
o rend hommage chaque année au travail des photojournalistes qui risquent leur vie dans les points chauds du globe.
La photo de la jeune afghane au nez coupé par les Talibans est encore dans les mémoires. L’œuvre gagnante de cette année, de l’Espagnol Samuel Aranda, est tout aussi saisissante : une femme en burka serre dans ses bras son fils blessé dans une manifestation au Yémen.
Outre celle-là, l’exposition 2012 du World Press Photo présente 160 photos primées dans 9 catégories.
Du 7 au 30 septembre, au
marché Bonsecours
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Annick Duchatel
La version originale de ce billet a été publiée dans le numéro de septembre 2012 du
magazine Vita
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Les bobos : ça va faire mal!
Des émissions mettant en vedette les irrésistibles Marc Labrèche et
Anne Dorval,
on en prendrait tous les ans. Surtout quand elles ont été écrites par leur complice Marc Brunet, l’auteur du délirant
Le cœur a ses raisons
.
Les Bobos, ça promet donc d’être du bonbon…acidulé. Dans cette comédie à sketchs, l’hilarant duo campe un couple de “bourgeois bohèmes”, cette faune branchée qui a des idées de gauche, mais un mode de vie bien matérialiste.
On les verra chaque semaine s’empêtrer maladroitement dans leurs prétentions et leurs contradictions, essayer de traquer les tendances du jour tout en affichant haut et fort leur (superficielle) conscience sociale. On en tremble déjà dans les chaumières du Plateau…
Dès le 14 septembre, sur les ondes de Télé-Québec.
Marie Labrecque
Ce billet a été publié dans le numéro de septembre 2012 du
magazine Vita
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