Blogs sur Vita Magazine

13 juillet 2010

Survivantes recherchées!

Classé dans : Magazine Vita Elaine Labrecque @ 9:03

L¹équipe du magazine Vita aimerait faire vivre un moment unique à trois survivantes du cancer du sein , soit une métamorphose dont les photos seront publiées en octobre, dans un numéro spécial dédié à la cause du cancer du sein. Au programme: coloration capillaire, coiffure, maquillage, conseils de stylisme et séance de photos avec les pros du magazine Vita .

Important:les candidates doivent être âgées de 40 ans et plus et accepter de voir leur photo publiée dans le magazine. Elles doivent également pouvoir se libérer une journée d’ici la fin du mois d’août pour la séance photo.

Si vous ou une personne que vous connaissez êtes intéressée par le projet, faites-nous parvenir trois photos (un portrait, une photo plein pied et l’autre au choix) à l’adresse suivante: [email protected] avant le 16 juillet 2010 .

6 juillet 2010

Pour un flirt avec toi…

Classé dans : Relations personnelles Elaine Labrecque @ 11:11

Vous croyez que la chanson de Michel Delpech est dépassée?

En entrevue à la radio, une journaliste française immigrée depuis peu au Québec déplorait que le flirt soit carrément absent des mœurs québécoises. Vrai? D’après les recherches menées par notre journaliste Annick Duchatel, géographie ou pas, il semble bien que ce soit le cas. Dommage.

Faut-il attribuer cette situation à un féminisme extrême? Peut-être… À une époque, les femmes auraient manifesté un agacement certain au jeu (bien inoffensif) du chat et de la souris. Résultat? Nos hommes n’osent plus nous approcher. Et si, par hasard, un audacieux matou se hasarde à le faire, nous retournons vivement dans notre trou de souris!

Nos hommes seraient-ils moins machos que leurs cousins? Cet aspect n’est pas à négliger non plus. Au pays de Maman Plouffe, les hommes n’ont pas été encouragés à devenir des tombeurs. Reste qu’à ce jeu du quant-à-soi, tout le monde est perdant. En effet, si l’on compare à l’époque où Michel Delpech occupait le haut du palmarès, le nombre de ménages composés d’une seule personne a plus que doublé*.

Le moment serait peut-être revenu de sortir nos vieux tubes…

D’ailleurs, si l’envie vous prend de vous y remettre, ne manquez pas de lire l’article Et si on flirtait? préparé par Annick Duchatel. Vous y trouverez des trucs pour renouer avec l’art du flirt. Qui sait, vous pourriez peut-être finir l’été à deux!

*Sources: Institut de la statistique du Québec

17 mai 2010

Cultiver son jardin

Classé dans : Aventures et évasions Elaine Labrecque @ 13:57

Jadis propriétaire d’un condo, d’un balcon et d’une minuscule cour, je m’évertuais, année après année, à transformer mon petit lopin de terre. En fait, je devrais peut-être plutôt dire petit lopin de glaise. C’est qu’à part quelques robustes arbustes, rien ne poussait. Pour ajouter au défi, j’avais droit à 15 minutes d’ensoleillement par jour. Je sais, ce peut être ravissant un jardin d’ombre. Ma bibliothèque contient un grand nombre de magazines magnifiques à ce sujet. Malgré tous mes efforts, impossible de reproduire les idées trouvées dans ces pages glacées. Je rêvais des Jardins de Métis et je récoltais plutôt la végétation luxuriante d’un stationnement de centre commercial. Pour me consoler, je pouvais au moins admirer sur le balcon ma douzaine de géraniums dans leur pot de grès, ainsi que mes boîtes à fleurs qui débordaient de patientes impatientes (les deux seules espèces survivantes de cet environnement hostile). De la mi-mai à la mi-octobre, elles devenaient mes fidèles compagnes. En dépit de mes insuccès horticoles, je garde tout de même de bons souvenirs de cette époque révolue. J’adorais bêcher, sarcler, biner. Bien plus que de remuer cette maigre terre, c’était mes soucis de la dernière semaine que bêchais, mes ennuis que je sarclais, mes conflits que je binais. Je soupçonne que c’est le cas aussi pour tous ces jardiniers du dimanche. Croyez-moi, ils ne font pas qu’aménager leur cour, c’est tout leur jardin intérieur qu’ils font fleurir…

Vous cherchez des idées et des conseils sur le jardinage?
Je vous invite à aller faire un tour du côté du site jardinage.net , ou encore sur la section réservée au jardinage des sites Décormag.com et de Coupdepouce.com Vous trouverez sur ces sites de quoi nourrir votre passion.

12 avril 2010

Adieu Toutou!

Classé dans : Relations personnelles Elaine Labrecque @ 10:55

Pendant quelques années, j’ai eu une voisine bien spéciale dont la principale activité consistait à sortir ses deux chiens plusieurs fois par jour. Comme une mère autoritaire, elle leur lançait constamment des ordres: «Sois gentil! Tais-toi! Si tu ne cesses pas, je vais…» Je vous épargne la suite. Dans sa voix forte, on devinait toutefois tout l’amour qu’elle leur portait. Puis l’un d’eux est tombé malade. Pauvre chien, il était atteint de leucémie. Comme un vieillard, il peinait à mettre une patte devant l’autre. Il faisait pitié à voir. Incapable de se résigner à s’en séparer, ma voisine l’a soumis à une longue série de traitements de toute évidence vains et coûteux. Elle m’a avoué avoir dû encaisser de précieux REER pour pouvoir lui offrir ces soins. Je n’en revenais pas! Cette femme au train de vie modeste n’hésitait pas à gruger dans ses maigres économies pour soigner son chien. Cela n’a rien changé à la suite des choses, et la pauvre bête n’a pas échappé à son sort. Pendant un temps, j’ai été témoin encore des sorties quotidiennes de ma voisine, puis elle a déménagé. Les dernières fois que je l’ai vue, elle se promenait dans le parc, accompagnée de son autre petit compagnon à poils. Elle était plus calme, et sa voix n’était plus la même. En fait, elle avait l’air de quelqu’un… en deuil.

Vous doutez que ce soit possible? Ne manquez pas de lire le témoignage de la journaliste Denise Sirois « Mort d’un animal de compagnie: un deuil (pas) comme les autres ». Elle y partage avec nous le lien qui l’a unie à Bambou, une petite chatte d’Espagne. L’histoire d’une affection toute particulière qui nous confirme la place que ces petits êtres à quatre pattes peuvent prendre dans notre cœur et dans notre vie…

29 mars 2010

Magasiner pour une bonne cause

Classé dans : Générosité Elaine Labrecque @ 9:07

Cancer! Un mot de six lettres qui bouleverse la vie de plus de 80 000 femmes chaque année au Canada*. On n’ose imaginer le drame qu’elles peuvent vivre. La souffrance des traitements, l’inquiétude et la peur qui les habitent. Pour couronner le tout, elles doivent en plus composer avec les effets secondaires de la chimiothérapie et la radiothérapie : perte des cheveux, des sourcils, des cils, entre autres. Pas évident de trouver la force de combattre dans ces conditions. Des gens d’affaires l’ont compris et c’est ainsi que l’Association canadienne des cosmétiques, produits de toilette et parfums (CCTFA) a mis sur pied, il y a près de 20 ans, les ateliers Belle et bien dans sa peau . Ces ateliers de deux heures offrent des formations de mise en beauté personnalisée (soins de la peau, techniques de camouflage et de maquillage et conseils pour les parures de tête) et permettent à des femmes de retrouver leur beauté. Mieux encore, elles y trouvent du courage et des moyens pour affronter la maladie avec plus d’assurance.

Vous voulez faire votre part?
Facile. En vous inscrivant au coût de 100 $, vous pourrez participer à la soirée Ogilvy Rendez-vous chic fou qui se tiendra le mercredi 7 avril prochain, de 19 h à 22 h. Pour l’occasion, l’élégant magasin de la rue Sainte-Catherine tiendra un événement shopping privé. Au programme : Défilé de mode printemps-été 2010, dégustations offertes par 10 restaurateurs réputés, musique, sac-cadeaux et rabais de 15 % sur certains achats. En plus, vous pourrez participer à un encan original et ludique où des hommes (célibataires!) représenteront des lots dont un comporte un voyage à Punta Cana.

Pourquoi ne pas inviter vos copines? Ça changera des traditionnels soupers de filles au resto…

Information et inscription :
Belle et bien dans sa peau, Événement Ogilvy Rendez-vous chic fou

* Source: statistiques canadiennes sur le cancer, 2009

9 mars 2010

Sensualité recherchée

Classé dans : Relations personnelles Elaine Labrecque @ 9:41

À une certaine époque, le cinéma classé «18 ans et plus» nourrissait notre quête de luxure. 37,2 le matin , 9 semaines ½ , L’Amant tiré de l’oeuvre de Marguerite Duras, tous des films dotés d’un récit (où souvent les amours finissaient mal), mais où le sexe était intense et bon. Depuis, j’ai l’impression que le cinéma ne nous a pas apporté beaucoup de grands frissons. Du moins à ce chapitre. Curieuse de découvrir le dernier amant romantique, j’ai entrepris un rapide survol des films à l’affiche au cinéma. Résultat: rien pour annuler le souper chez la belle-sœur samedi soir. À moins que les gaillards bleus d’ Avatar ou le lapin d’ Alice au pays des merveilles ne soient des objets de fantasmes, bien sûr. Non, il faut l’admettre, le sexe ne se pratique plus au grand écran. Les amateurs se sont plutôt tournés vers le petit écran, celui de leur ordinateur: discret, accessible 24 heures sur 24, varié. Le hic, c’est qu’on ne parle plus d’érotisme, mais bien de pornographie. Et, pour nombre d’entre nous, ce matériel est carrément débandant.

Mais alors, dans cette ère de banalisation du sexe, devrions-nous faire preuve davantage d’ouverture d’esprit en invitant la pornographie dans nos chambres à coucher, ou devrions-nous plutôt nous en méfier et lui interdire tout droit de séjour? La sexologue Sylviane Larose répond à la question dans l’article: « La pornographie: une nouvelle maîtresse? » Un article pour lequel il nous fera d’ailleurs plaisir de lire vos commentaires.

D’ici là, si par hasard vous avez de bonnes idées de films qui puissent éveiller nos sens (et ceux de nos Roger), n’hésitez pas à les partager avec nous.

1 mars 2010

«Cachez ce sein…

Classé dans : Beauté Elaine Labrecque @ 12:58

que je ne saurais voir», aurait pu s’écrier le Tartuffe de Molière en voyant la magnifique Laetitia Casta lors de la cérémonie des Césars, samedi dernier.  Heureusement, au grand plaisir de l’assemblée, et des téléspectateurs, le fourbe personnage n’était pas là. Si vous n’avez pas eu l’occasion de la voir, la belle portait une audacieuse robe de mousseline, de paillettes et de plumes signée Yves Saint Laurent.

Le genre de robe que l’on ne peut porter qu’en France sans courir le risque d’être accusée de grossière indécence. Une tenue qui à elle seule valait le détour. Comment ne pas apprécier un tel spectacle? Même l’animateur de la soirée Gad Elmaleh (que l’on peut voir ici sur cette vidéo ), d’habitude plutôt bavard, ne pouvait qu’être pantois. C’est qu’en plus d’avoir tous les atouts pour… s’habiller (ou se déshabiller) ainsi, la Falbala d’Obélix fait preuve d’une assurance déconcertante. Facile, vous me direz lorsque chaque parcelle de sa personne dépasse les limites permises de la perfection. Je sais, je sais. La vie est injuste. Pour se consoler, on peut toujours fabuler en se disant qu’elle doit ronger ses ongles, faire du bruit en mangeant sa soupe ou pire, ronfler dans son sommeil. On peut bien rêver. En attendant, si l’idée vous prend de vous afficher ainsi, mais que vous croyez que certaines retouches mammaires sont avant tout nécessaires, je vous invite à prendre connaissance de l’ enquête menée par l’intrépide journaliste Karine Vilder. Déterminée à changer la taille de ses bonnets, Karine a rendu visite à quatre chirurgiens. Une virée ludique et instructive.

Dans un autre article, « Comment se préparer avant de passer sous le bistouri » , la journaliste a pris soin de compiler de bons conseils avant d’entreprendre une telle aventure, une liste de questions à poser, ainsi que des bonnes ressources.

Toutes ces futilités autour des seins vous dépriment?
Ne vous en faites pas. Rappelez-vous que la beauté est intérieure. Quoi, avez-vous dit «menteuse»? Je dirais plutôt fataliste, alors que nous soyons une A, B, C, D ou plus, il ne reste plus qu’à faire comme Laetitia et à se tenir bien droite. À défaut de décrocher une invitation aux Césars, on peut être assurée que c’est bon pour notre dos.

Photo et vidéo:
Parismatch.com
Wat

16 février 2010

Moins cigale, un peu plus fourmi

Classé dans : Argent et boulot Elaine Labrecque @ 9:53

Lendemain de veille difficile. Après avoir célébré l’amour tout le week-end, il faut bien affronter la dure réalité et s’occuper du dossier REER. «Y en aura pas de facile», comme on dit au hockey. Mais pourquoi entretenons-nous des rapports si complexes avec l’argent? Pourquoi sommes-nous si efficaces dans de nombreuses sphères de notre vie et devenons-nous nulles dès que l’on voit s’afficher des chiffres et des signes de dollars? La planificatrice financière Lison Chèvrefils s’est attaquée en partie au problème. Elle a laissé aux psys le soin d’expliquer le pourquoi du comment, et s’est plutôt concentrée à trouver des solutions qu’elle a réunies dans un ouvrage pratique.

Il y a quelques années, justement à la Saint-Valentin, ma mère nous a offert à mes sœurs et moi ce livre de madame Chèvrefils, Mesdames, prenez vos affaires en main . C’était sa façon bien personnelle de nous dire: mes filles, je vous aime beaucoup, et je souhaite que vous vous occupiez bien de vos finances. Une démarche toute naturelle pour une maman qui a toujours travaillé et possédé son propre portefeuille. Message reçu, Maman!

Loin d’être culpabilisant, cet ouvrage m’a aidée à y voir plus clair et a contribué à dompter la cigale en moi. Je ne me suis pas complètement transformée en fourmi, mais j’y aspire.

Pour en savoir plus sur les finances au féminin, je vous invite à lire cet article de Lison Chèvrefils. Aussi, la Banque Royale présente sur le site un publireportage instructif sur le sujet.

Allez, courage, après tout, ce n’est que de l’argent!

9 février 2010

Fêter la Saint-Valentin… encore?

Classé dans : Inspiration Elaine Labrecque @ 12:19

Depuis quelques années, la Saint-Valentin ne se limite plus aux tourtereaux. Le concept s’est élargi à l’ensemble de nos relations. Ainsi, on envoie des cœurs aux membres de notre famille, aux amis, aux collègues de travail. Ce faisant, cela a permis d’enlever de la pression aux couples un peu moins épris, qui vivaient ce jour de février avec angoisse, et aux commerçants de faire de meilleures affaires. Trêve d’ironie et réjouissons-nous plutôt que ce jour-là tous puissent avoir droit à une petite marque d’amour.

Je regrette tout de même un peu l’époque où la Saint-Valentin était réservée aux amoureux. Le doux temps où l’on pouvait s’attendre à recevoir des fleurs ou du chocolat. Disparu vraiment? Peut-être pas. Au-delà des cadeaux traditionnels, suffit peut-être de s’offrir des moments privilégiés. Des instants exclusifs volés au quotidien où le tourbillon de la vie ne peut nous atteindre. Et ça, vous en conviendrez, c’est bien meilleur que du chocolat!

Complicité présidentielle
Pas besoin d’être devin pour constater les liens qui les unissent. Fatigués, Michelle et Barack Obama n’en sont pas moins la démonstration éloquente d’un couple amoureux.

Croquée en 2008 pendant la course à l’investiture démocrate, cette photo a remporté l’un des premiers prix du World Press Photo (WPP) en 2009 . Photo réalisée par Callie Shell Aurora pour le magazine Time .

1 février 2010

Vivre jusqu’au bout

Classé dans : Inspiration Elaine Labrecque @ 12:09

Aujourd’hui débute sur la première chaîne de la radio de Radio-Canada une toute nouvelle série documentaire qui risque de nous bousculer…

Vivre jusqu’au bout du réalisateur Mario Proulx abordera en cinq épisodes des thèmes entourant la mort: la peur et le déni, l’immortalité, les soins palliatifs et l’euthanasie, le deuil et les rites funéraires.

Bâtie autour d’une soixantaine d’entretiens privilégiés, la série nous présente les points de vue de l’écrivain Éric-Emmanuel Schmitt, du moine bouddhiste Matthieu Ricard et de la psychologue Johanne de Montigny, entre autres. On y entendra aussi des auteurs tels Clémence Desrochers, Pierre Légaré et Chloé Sainte-Marie qui ont écrit spécialement pour le projet.

On nous promet que la série sera «loin d’être sombre». Le documentaire devrait plutôt nous convaincre que ces moments difficiles peuvent enrichir notre vie. À lire ce qu’en dit Josée Blanchette, je le crois: «La mort, c’est le cadre qui rend un tableau encore plus éclatant. Le cadre met en valeur le paysage de Monet, les pointillés de Seurat. Le cadre encadre, contient, délimite. Et c’est précisément ce que fait la mort avec nos vies: elle les illumine, leur prête vie. Elle rend toutes choses belles, meilleures, fragiles, fuyantes, insaisissables.»

La série nous rappelle le choix qui se pose à nous: mourir un peu chaque jour ou vivre jusqu’au bout. Tout un choix, n’est-ce pas?


Radio et web

Vivre jusqu’au bout , à écouter sur la première chaîne de Radio-Canada, du 1er au 5 février de 13 h à 14 h (en rediffusion à 22 h). Si vous les ratez à la radio, vous pouvez tout de même les écouter sur le site de l’émission . Vous y trouverez en plus des textes et des enregistrements inédits.

Livre
Les entrevues intégrales d’une dizaine de participants, ainsi que les textes des auteurs ont été rassemblés dans le livre Vivre jusqu’au bout publié aux Édititions Bayard. En voici d’ailleurs des extraits présentés sur le site de Renaud-Bray.

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