Les causes de baisse de libido après 40 ans
Les facteurs liés à la perte du désir féminin sont multiples : le rythme de vie effréné, les craintes liées à la performance et l'hygiène de vie inadéquate n'en sont que les plus souvent cités. Dès la quarantaine, les transformations physiques à l'approche de la ménopause, l'image corporelle négative et la prise de médicaments s'ajoutent à cette équation déjà complexe.
La baisse de la libido, dite « trouble du désir sexuel hypoactif (DSH) », n'a pas d'âge. Toutefois, les femmes sont particulièrement touchées après la ménopause , car celle-ci entraîne une diminution des hormones sexuelles, œstrogènes et testostérone.
Célibataire ou en couple, même combat ? Absolument, affirme la sexologue clinicienne et psychothérapeute Marie-Josée Brunelle , car « le trouble du désir sexuel hypoactif implique une diminution de l'intérêt pour la sexualité imaginée ou réelle, que ce soit dans le cadre du couple ou non ».
L'hygiène de vie au secours du désir
Sexologues et naturopathes s'entendent, le rôle de l'hygiène de vie est capital dans le traitement de la baisse de désir des femmes. Ainsi, l'activité physique régulière, la gestion du stress par la relaxation ou la pratique de son passe-temps favori, le sommeil réparateur et l'hydratation adéquate sont indispensables. Après tout, « un esprit sain dans un corps sain est une règle incontournable pour avoir une bonne libido », rappelle la naturopathe agréée Roseline Gagnon .
Une fois que l'on a adopté une saine hygiène de vie, Mme Gagnon suggère la consommation de plantes « adaptagènes » pour l'entretenir. L'ashwagandha, la rhodiola, le ginseng sibérien et l'astragale « renforcent la capacité de faire face aux stress quotidiens ». Elle conseille aussi d'ajouter les vitamines du complexe B et le thé rooibos chaï dont les épices « améliorent la circulation sanguine et ont un effet tonifiant ».
La baisse de la libido, dite « trouble du désir sexuel hypoactif (DSH) », n'a pas d'âge. Toutefois, les femmes sont particulièrement touchées après la ménopause , car celle-ci entraîne une diminution des hormones sexuelles, œstrogènes et testostérone.
Célibataire ou en couple, même combat ? Absolument, affirme la sexologue clinicienne et psychothérapeute Marie-Josée Brunelle , car « le trouble du désir sexuel hypoactif implique une diminution de l'intérêt pour la sexualité imaginée ou réelle, que ce soit dans le cadre du couple ou non ».
L'hygiène de vie au secours du désir
Sexologues et naturopathes s'entendent, le rôle de l'hygiène de vie est capital dans le traitement de la baisse de désir des femmes. Ainsi, l'activité physique régulière, la gestion du stress par la relaxation ou la pratique de son passe-temps favori, le sommeil réparateur et l'hydratation adéquate sont indispensables. Après tout, « un esprit sain dans un corps sain est une règle incontournable pour avoir une bonne libido », rappelle la naturopathe agréée Roseline Gagnon .
Une fois que l'on a adopté une saine hygiène de vie, Mme Gagnon suggère la consommation de plantes « adaptagènes » pour l'entretenir. L'ashwagandha, la rhodiola, le ginseng sibérien et l'astragale « renforcent la capacité de faire face aux stress quotidiens ». Elle conseille aussi d'ajouter les vitamines du complexe B et le thé rooibos chaï dont les épices « améliorent la circulation sanguine et ont un effet tonifiant ».
