À chacune le sien!
✖ « Une folle nuit d’amour avec Leonardo DiCaprio! » Jessica | 45 ans
✖ « Qu’un bel inconnu s’avance vers moi et qu’il se mette à me caresser partout en m’embrassant sauvagement. Ça m’est arrivé à 24 ans dans un bar, mais j’ai rué dans les brancards et j’ai giflé le type. Aujourd’hui, si ça devait se reproduire, je crois que je me laisserais faire. » Anne-Claire | 51 ans
✖ « Me masturber sans retenue devant mon conjoint. » Patricia | 42 ans
✖ « Ç’a longtemps été qu’une lesbienne expérimentée m’entreprenne. Maintenant, ça serait plutôt de m’envoyer en l’air (avec un homme!) dans un lieu public, comme le vestiaire d’un resto ou une salle de cinéma. » Johanne | 48 ans
✖ « Un trip sadomaso avec sous-vêtements en latex, bâillon et menottes. C’est quelque chose que je ne peux pas essayer dans la vraie vie parce que ça rebute mon mari. » Josée | 56 ans
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« Jouer dans un film porno. » Inès | 44 ans
Ce qu’en dit la sexologue Geneviève Parent
« Tant qu’on a un répertoire assez large pour y inclure à l’occasion notre partenaire, il est tout à fait sain d’avoir des fantasmes, car ils alimentent notre désir. La libido d’une femme qui ne fantasme pas n’est pas aussi intense que celle d’une autre qui s’y adonne. Par contre, rien ne nous dit qu’on doit concrètement mettre en scène nos fantasmes. Dans la réalité, ils sont souvent décevants. Non seulement ne se déroulent-ils pas toujours comme prévu mais, contrairement à ce qui se passe dans notre tête, on ne se sent pas forcément à l’aise de faire l’amour à trois ou de se déshabiller devant une fenêtre... »
La version originale et intégrale de cet article a été publié dans le numéro été du magazine Vita.
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