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Le neurocoaching – Pour changer sa façon de penser

Peut-on reprogrammer notre cerveau de manière à changer notre vie? Oui, affirme Lyne Forcier. Cette spécialiste du neurocoaching a répondu aux questions de Vita magazine.

Modifié le :
2010-11-15 13:20
Publié le :
2010-11-08 10:25
Par:
Blandine Jardon

Le neurocoaching pour transfomer sa vie

«Notre matière grise est "plastique", explique Lyne Forcier, spécialiste du neurocoaching. Ses connexions peuvent se modifier et s'adapter à la suite de lésions physiques, par l'apprentissage ou encore grâce à une nouvelle expérience. » Elle comprendrait quatre centres décisionnels: le reptilien, le paléo-limbique, le néo-limbique et le préfrontal. Ce dernier, qui correspond au siège de l'intelligence adaptative, permet de s'habituer à l'inconnu, de recevoir de nouveaux apprentissages et d'évoluer. C'est en y accédant qu'un neurocoach peut faire découvrir à une cliente des solutions qui l'aideront à traverser sereinement des étapes de vie importantes.


De quelle manière cette approche peut-elle aider une femme qui souhaite changer sa vie?
La quarantaine est souvent une période marquée par des remises en question. On peut réaliser que notre situation personnelle ou professionnelle ne nous convient plus, sans toutefois arriver à prendre une décision. De façon générale, les femmes manquent davantage de confiance en elles et ont plus de difficulté à s'adapter au changement que les hommes. En les encourageant à activer leurs forces, le neurocoaching les amène à choisir leur vie au lieu de la subir. Prendre une décision implique aussi de faire le deuil de notre vie d'avant et de miser sur l'avenir. Une femme qui décide de laisser son emploi et de démarrer sa propre entreprise, par exemple, devra se résigner à ne plus voir ses collègues avec qui elle entretenait une relation enrichissante. Une autre choisira de se séparer de son conjoint, mais devra envisager la garde partagée des enfants. La décision parfaite n'existe pas. Notre rôle est d'aider ces femmes à faire des choix éclairés.

Le burnout guette également les femmes vieillissantes , chez qui on note souvent un fort sens des responsabilités. En modifiant la certitude ou la croyance (mémoire) qui les font se sentir hyperresponsables et perfectionnistes (ce qui entraîne un sentiment de culpabilité si elles ne parviennent pas aux buts qu'elles se sont fixés), notre méthode leur permet d'adopter de nouveaux comportements grâce auxquels elles seront mieux dans leur peau.

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Pagination Documents

Page 1:
Le neurocoaching pour transfomer sa vie
Page 2:
Le neurocoaching : mode d'emploi
Page 3:
Le neurocoaching : une approche pour toutes?

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