• Envoyer
  • Imprimer
  • Favoris
  • Document user evaluation
    (7 personnes)

Ménopause au bureau: «Attention, j'ai chaud!»

Bouffées de chaleurs, fatigue, insomnie, irritabilité, maux de tête, pertes de mémoire: Ciel! Peut-on rester efficace, quand notre thermostat interne se dérègle? Réponses hot.

Modifié le :
2010-06-09 15:47
Publié le :
2010-06-08 12:31
Par:
Suzanne Décarie

istockphoto

Ménopause au bureau: Témoignages

Fini, les règles et la contraception! Enfin apaisé, le SPM exacerbé par ma période «préméno » - que j'avais rebaptisée SMP pour Sacrez-moi patience!

Ma ménopause est arrivée comme une délivrance. Bien sûr, elle m'a épaissie, asséchée et donné des chaleurs, mais peu comparativement à d'autres femmes qui naviguent en eaux houleuses, luttant pour ne pas perdre pied.

Le cas de Marie
«Au travail, mes collègues sont discrètes à ce sujet, constate Marie Côté*, 55 ans, cadre dans un centre jeunesse. Mais lorsqu'on aborde la question, on se rend compte qu'on vit toutes des dérangements qui nous affectent. La préménopause, c'est une vraie révolution! On se retrouve perturbée par les changements hormonaux comme à l'adolescence. Quand ça m'est arrivé, je ne me reconnaissais plus. Je ne digérais plus rien, je prenais du poids sans manger davantage, j'avais souvent des coups de blues, ma peau n'était plus la même...Bref, j'avais perdu le contrôle. Il a fallu que je révise toutes mes habitudes de vie pour trouver un nouvel équilibre.»

... et celui de Lise
Perte de contrôle aussi pour Lise Bélair*, 56 ans, adjointe de direction. «Pendant huit ans, je me suis sentie envahie par un tsunami intérieur», raconte-t-elle. Dans son cas, la préménopause s'est annoncée par des migraines tenaces qui lui empoisonnaient la vie du matin au soir. «Comme elles étaient hormonodépendantes, les médecins me déconseillaient de prendre des hormones, qui auraient pu me soulager. Or, si j'avais su quel enfer m'attendait, j'en aurais pris quand même!» Car à ses migraines récurrentes se sont ajoutées les nausées, les menstruations s'étirant goutte à goutte, les bouffées de chaleur, l'insomnie...

*Les noms ont été changés pour préserver l'anonymat des femmes interviewées.

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: Témoignages (la suite)

«C'est bien simple, j'aurais voulu divorcer d'avec moi-même! s'exclame Lise.

À l'époque, il ne fallait pas être dans mes jambes. Je grimpais facilement dans les rideaux. J'ai dû apprendre à fermer la porte de mon bureau et à respirer par le nez pour ne pas tuer quelqu'un! C'est dur de fonctionner comme si de rien n'était au travail quand on n'a pas dormi et que la migraine nous mine. Personnellement, je ne supportais plus la pression. J'ai dû quitter un poste de cadre supérieur pour occuper un emploi de professionnelle dans le milieu de l'enseignement, où les gens se sont montrés très compréhensifs. Certains jours, j'arrivais plus tard ou je partais plus tôt. Et j'ai vidé ma banque de congés de maladie pour pouvoir tenir le coup.»

Après un pic éprouvant de deux ans, Lise a commencé à se sentir mieux. Des anti-inflammatoires et un régime alimentaire strict ont endigué ses migraines, l'acupuncture l'a aidée à surmonter ses insomnies, et ses règles ont cessé. À partir de ce moment-là, elle a retrouvé sa forme et son énergie : «J'ai encore quelques bouffées de chaleur, mais je me rendors dès qu'elles sont passées.»

Le cas de Johanne
À l'inverse, certaines femmes ont une préménopause sans histoire... pour ensuite vivre l'horreur une fois ménopausées. C'est le cas de Johanne Lafleur*, 53 ans: «Je ne suis pas bien, je me sens complètement drainée. J'ai pris du poids et je ne me trouve pas belle. Bref, je ne m'endure plus!»

Il faut dire qu'au travail Johanne est très sollicitée. Gestionnaire responsable de grosses équipes, elle doit souvent piloter plusieurs réunions d'affilée sans s'accorder de répit. «Au moindre stress, mes symptômes s'amplifient, déploret- elle. Chaleurs, migraines, nausées, étourdissements, insomnie... Comme je ne dors presque pas, j'ai de la misère à me concentrer. Et puis j'ai mal à la tête en permanence. Je passe mes journées à tenter de me contrôler, à refouler mes malaises. Je me parle, je médite, j'essaie de garder la tête froide. Mais chaque matin et chaque soir, je me retrouve en pleurs et en lambeaux...»

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: Expériences d'hormonothérapie

À la suggestion d'un premier médecin, Johanne a d'abord opté pour l'hormonothérapie de remplacement, pour ensuite se faire prescrire des hormones bio-identiques par un autre médecin.

Dans un cas comme dans l'autre, elle a dû cesser le traitement, terrassée par des maux de jambes, des migraines ophtalmiques et des douleurs aux seins.

Après avoir constaté que l'hormonothérapie ne lui convenait pas du tout, Johanne est retournée voir son médecin de famille, qui lui a suggéré d'essayer les antidépresseurs ou les somnifères. «J'ai finalement accepté de prendre des somnifères pour le moment. Je viens aussi de consulter une naturopathe. Je me suis mise au yoga, à la méditation et à la visualisation. En plus de me préparer des décoctions d'herbes, je surveille ce que je mange : par exemple, j'ai exclu de mon régime les aliments irritants (oignons, ail, épices, etc.) et ceux qui se digèrent difficilement. En me répétant que cette étape est temporaire.»

Raz-de-marée? Tempête? On exagère à peine!
La plupart des femmes ne sont pas vraiment préparées à ce raz-de-marée. Au cours de la prochaine décennie, 2,7 millions de Canadiennes - une sur six - atteindront la ménopause, révélait une enquête menée en 2007 par la firme Léger Marketing*. «Cette étude confirme que la ménopause peut avoir un impact sérieux sur la qualité de vie, mais le plus préoccupant, c'est que les femmes ne semblent pas y être préparées», déclarait alors la Dre Janet Dollin, présidente de la Fédération des femmes médecins du Canada. Selon les résultats de l'enquête, la ménopause a un impact égal ou plus grand que la grossesse et l'éducation des enfants sur la vie quotidienne de près d'une femme sur trois.

«Sur 100 femmes, 10 traversent la ménopause sans s'en rendre compte, 10 vivent un véritable enfer, tandis que les 80 autres ont des symptômes variables », signale la psychothérapeute Marie-Ange Pongis-Khandjian, ex-rédactrice en chef du défunt bulletin Une véritable amie, traitant de la ménopause et de la santé des femmes. «Dès que le rythme et la durée des règles changent, c'est le moment de s'informer, dit-elle. À ce stade de leur vie, plusieurs femmes ne se comprennent plus. Il faut dire qu'avec ses hauts et ses bas la préménopause peut effectivement avoir des allures de tempête.»

* Enquête commanditée par Wyeth Canada en partenariat avec la Fédération des femmes médecins du Canada.

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: Conséquences gênantes...

Les cauchemars de Diane
Il y a quelques années, Diane Parent*, 53 ans, présidente d'un organisme sans but lucratif, avait été étonnée par l'arsenal de protection hygiénique que trimbalait une collègue.

«Quand mes règles ont commencé à dérailler, j'ai compris. Je me souviens par exemple d'avoir souillé un fauteuil dans le bureau d'un collaborateur, un dégât que j'ai camouflé avec un coussin. Une autre fois, en sortant d'un dîner au resto avec le vice-président d'une entreprise, j'ai senti couler mon flot menstruel. Et j'ai eu si peur de tacher mon pantalon vert lime que j'ai abandonné mon invité sur le trottoir pour sauter dans le premier taxi que j'ai aperçu. Le gars a dû me prendre pour une vraie folle!»

... et ceux de Carole
À 54 ans, Carole Savoie*, cadre dans un centre de santé, a encore ses règles. «Le pire, c'est que le sang passe à travers toutes mes protections et que j'en laisse partout : sur le siège d'auto, sur la banquette dans le train, sur ma chaise au travail. C'est très gênant!»

Sans compter que des menstruations abondantes ou trop rapprochées épuisent celle qui les subit et peuvent la rendre anémique. Afin de contrer ces tracas, j'avais pour ma part demandé à mon médecin une prescription d'anovulants à faible dose pour régulariser mon cycle et tenter d'atténuer mon fameux SPM... ce qui n'a malheureusement pas eu l'effet recherché.

Affligée elle aussi de règles abondantes et imprévisibles, Marie a résolu l'aspect vestimentaire du problème en excluant carrément le beige et le blanc de sa garde-robe. «Comme je ne savais jamais quand mes menstruations allaient commencer, je ne voulais pas courir le risque de tacher mes affaires.»

Pendant que Louise se change en l'incroyable Hulk!
Au cours de la préménopause, la production de progestérone - l'hormone du calme et de la sérénité - diminue. Dès lors, le chaos s'installe. «Durant cette période-là, je ne me reconnaissais plus!» raconte Louise Deslauriers*, 58 ans, directrice de publication. De nature douce et posée, elle est devenue impatiente et irascible. «Un jour, j'ai même raccroché au nez d'un client... ce qui m'a valu les remontrances de ma patronne.»

C'est durant la préménopause que les femmes sont le plus agressives, m'a déjà confié une gynécologue-obstétricienne. Certaines deviennent même suicidaires à la veille de leurs règles. D'autres sont dans un tel état de tension constante qu'elles risquent alors de perdre leur emploi... quand elles ne décident pas elles-mêmes de tout.

*Les noms ont été changés pour préserver l'anonymat des femmes interviewées.

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: Alternative à l'hormonothérapie

Diane peut en témoigner, après avoir passé des années avec les nerfs à fleur de peau.

«J'avais toujours la larme à l'oeil, dit-elle. Au beau milieu d'un rendez-vous d'affaires, je me suis déjà mise à pleurer sans savoir pourquoi. Heureusement que le type avec qui je me trouvais - un gars marié et père de trois filles - était du genre compréhensif! Cette fois-là, je ne savais pas du tout ce qui m'arrivait. Et je déplore que la plupart des femmes soient si peu renseignées à ce sujet. On sous-estime à quel point la préménopause affecte notre vie intime et professionnelle. Pour ma part, je suis sûre que certaines décisions que j'ai prises sont imputables au dérèglement hormonal. J'ai déjà quitté un emploi très intéressant sur un coup de tête, à cause d'une simple remarque de travers. Bien sûr, il y avait une foule de détails qui m'irritaient depuis longtemps. Disons que ç'a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Mais cette démission impulsive aurait pu être désastreuse! Heureusement, j'ai eu la chance d'être embauchée ailleurs peu de temps après.»

Médecine naturelle
Comme Diane, de nombreuses femmes en préménopause ont un réel besoin d'aide. Hormones bio-identiques, huile d'onagre, millepertuis, oméga-3 ou antidépresseurs en apaisent plusieurs en atténuant leurs symptômes. Enseignante au primaire, Anne Filion*, 56 ans, n'a pas attendu d'exploser avant d'agir. Quand elle a senti sa patience décliner et les bouffées de chaleur monter, elle s'est précipitée chez son médecin de famille pour qu'il lui prescrive une hormonothérapie de remplacement - car elle n'avait aucune envie de passer son temps à rougir comme une pivoine en hurlant après les élèves. Aujourd'hui, elle se félicite encore de son initiative. À nouveau sereine et maître de son thermostat interne, Anne clame haut et fort qu'elle prendra des hormones «aussi longtemps que possible ».

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: Saprées bouffées de chaleur!

Avouons que ces fameuses bouffées de chaleur en font suer, des femmes!

«Moi, je les sens toujours venir, affirme Louise. Mes gencives s'engourdissent, j'ai une soif intense, et là, ça sort! Comme un orgasme, mais sans la jouissance. Ça part du ventre et ça irradie jusqu'au bout des cheveux et des orteils. Quand ça se produit à la maison, mes vêtements revolent! Au bureau, je me contente de m'éventer. Chez moi ou ailleurs, c'est l'horreur... Enfin, je devrais plutôt dire c'était l'horreur, car avec les années, mes bouffées se sont beaucoup espacées.»

Dans l'espoir de mettre un terme à ses malaises, Louise a longtemps fait vivre le marché des produits naturels. «Un naturopathe m'a déjà vendu un aérosol homéopathique (que je sortais de mon sac à la moindre bouffée), de l'huile d'onagre et des gélules d'oméga-3. J'ai également pris des hormones de substitution durant quelques mois, puis j'ai cessé - comme 50 % des utilisatrices nordaméricaines - lorsque l'étude américaine Women's Health Initiative a laissé entendre que ça augmentait les risques de crise cardiaque, d'accident vasculaire cérébral et de cancer du sein. Des conclusions qui ont été remises en cause depuis. En fin de compte, dans mon cas, c'est le temps qui a tout réglé.»

Malaises! Malaises!
«Les bouffées de chaleur, ça me fait penser aux contractions d'accouchement, note pour sa part Danièle Lefebvre*, 55 ans, responsable de production. Souvent, je les chronomètre : elles durent une minute. Quand ça arrive, je ne bouge plus, je ralentis ma respiration et je compte jusqu'à ce que la bouffée soit passée.»

Pour sa part, Marie se souvient de réunions qu'elle a animées en rougissant jusqu'à la racine des cheveux, ce qui ne manquait jamais de faire rire les participants. «Quand la chaleur monte, je ruissèle. Je choisis mes vêtements en conséquence. Depuis le jour où deux énormes cercles se sont dessinés autour de mes aisselles sur mon pull ajusté après une grosse bouffée de chaleur, je porte des chemisiers amples si j'ai des présentations prévues durant la journée. En fait, j'ai adopté le principe multicouche pour m'habiller : quand j'ai froid, j'ajoute une petite laine et, aussitôt que j'ai chaud, je l'enlève. Dans nos réunions de gestion, on a même délégué un de nos collègues au contrôle du thermostat!»

Publicité

istockphoto

Ménopause au bureau: De l'espoir et des ressources!

À retenir, pour s'encourager: selon l'Association des obstétriciens et gynécologues du Québec, environ les deux tiers des femmes qui franchissent le cap de la ménopause naturellement - c'est-à-dire sans recourir à l'hormonothérapie - ont des bouffées de chaleur pour une période variant de trois à cinq ans.

Et le sommeil dans tout ça?
Comme Lise, Johanne et bien d'autres à la veille d'être ménopausées, Louise a découvert l'insomnie au mitan de sa vie : «J'arrivais au boulot fatiguée, ce qui ajoutait à mon impatience. Je me traînais du matin au soir. Mon médecin m'a finalement prescrit des somnifères, que j'ai pris pendant un moment. Là, ça va.» Même son de cloche du côté de Catherine Pépin*, 56 ans, agente de recherche en santé. «Le fait d'être réveillée une quinzaine de fois chaque nuit par des bouffées de chaleur me laissait non seulement moite, mais fatiguée... et, par ricochet, facilement irritable au bureau», dit-elle, reconnaissante à l'hormonothérapie de lui avoir rendu son sommeil et sa bonne humeur.

«Dans mon milieu de travail, je côtoie plusieurs femmes ménopausées. On cherche toutes nos mots et on a toutes des problèmes de mémoire», soulignet- elle, ajoutant du coup un autre symptôme à la liste des inconvénients avec lesquels les femmes d'âge mûr doivent composer.

La bonne nouvelle, c'est que ça va passer...
Pour bien vivre cette période transitoire, il faut d'abord réviser ses habitudes en s'assurant d'avoir une alimentation équilibrée et un poids santé, de renoncer au tabagisme, de limiter sa consommation d'alcool et de faire de l'exercice, affirment les spécialistes de la ménopause. Toutefois, même en adoptant un excellent régime de vie, certaines femmes resteront aux prises avec des symptômes désagréables. Pour les faire disparaître - ou du moins les réduire -, on retient deux principales options à considérer: l'hormonothérapie bio-identique et l'hormonothérapie de remplacement.

«Surtout, dites-vous que la situation ne durera pas éternellement, insiste Marie-Ange Pongis-Khandjian. Et qu'il y a une vie après la ménopause. Une vie sans règles, libérée des soucis de la contraception, et très créative!» Plus créative qu'avant? Et comment! Quand les enfants sont grands ou qu'ils ont quitté le nid, on a le champ libre pour de nouveaux défis!

Une femme avertie en vaut deux!

  • Hormones au féminin, Dre Sylvie Demers, Les Éditions de l'Homme, 2008.
  • La sagesse de la ménopause, Dre Christiane Northrup, ADA, 2003.
  • Les plaisirs secrets de la ménopause, Dre Christiane Northrup, ADA, 2009.
  • Ménopause, nutrition et santé, Louise Lambert-Lagacé, Les Éditions de l'Homme, 2004.
  • Sur Internet: mamenopause.ca.

La version originale de cet article a été publiée dans le numéro de Février-mars 2010 du magazine Vita .

Vous voulez en savoir plus sur la ménopause?
Ne manquez pas de consulter les articles sur le sujet publiés sur Vitamagazine.ca Voyez-en la liste ici!

Retour à la Section Santé

Publicité

Commentaires

  • popierre's avatar popierre a écrit :

    2010-06-10 7:15 AM

    Vos histoires ressemblent à la mienne. Quel deuil je dois faire: verres en permanence,prothèse dentaire,vêtements plus amples,bourrelets et en plus être moïte me rend folle. Vivant avec un nouveau conjoint plus jeune qui a une peau de bébé, et moi dormant à ses côtés le menton collé sur ma poitrine, les cheveux frisés au max, l'oreiller qui suinte, j'en ai eu marre. Je prend depuis 3 mois ESTRACE..ma vie est redevenue presque comme avant. Pas de cancer du sein dans ma famille, je suis en parfaite santé..donc permis de prendre cet hormone de soya. Je ne fume pas, marche 45 minutes quotidiennement, lait de soya,heure, j'arrive à bien vivre,après avoir mis la bizbille dans ma famille, il ne me reste qu'a faire mes excuses et reprendre à partir du 24 décembre 2009, le soir de mon explosion, pire que les attentats de N-Y. Je n'ai pas pris de poids, par contre je dois faire plus attention à ce que je mange.Pas de cigarettes et pas trop d'alcool. Plus aucune bouffée de chaleur c'est merveilleux. Tout le monde au travail me tape moins sur les nerfs. J'avais envie de mordre, sauf mon bel amour, par chance...J'ai quelques pertes de mémoire,mais le reste est bien.Il faut faire le deuil de notre jeunesse, je pense que c'est ce qui me reste encore à travailler, malgré que je paraît encore dans la quarantaine à 54 ans, j'ai moins d'énergie c'est certain. Si vous avec le profil pour prendre cet hormone,essayez. J'attend vos commentaires. Perline Rose
  • sylvie17's avatar sylvie17 a écrit :

    2010-06-12 11:46 PM

    C'est ce que je prends depuis deux mois et pour l'instant je ne vois pas de différence.
  • popierre's avatar popierre a écrit :

    2010-08-09 8:44 AM

    posible que tu ne prends pas assez fort ? moi c'est du 1 mg et après quelques jours je n'ai plus jamais eu de chaleur. Je l'ai coupé en deux quelques soirs pour voir si c'était possible que .5 soit assez et non, les chaleurs sont revenues.. donc je vais rester avec cette posologie. Bonne chance !
Laisser un commentaire

Les champs marqués avec * sont obligatoires.

Vous devez être connectée pour laisser un commentaire.

Envoyer à un ami

Les champs marqués d'un astérisque * sont obligatoires.

monVita

Inscrivez-vous pour commenter les articles, publier vos histoires ou encore, participer aux forums.


Bienvenue ! Se connecter , s'inscrire ou voir l'aperçu .

Publicité

Abonnement

Infolettre

Soyez au fait des nouveautés. Abonnez-vous dès maintenant.

Infolettre

Partenaires

Concours

")); "));