Quels traitements?
Une combinaison de traitements
Le cancer de l'ovaire est généralement traité par une association de chirurgie et de chimiothérapie. «Le but de l'intervention chirurgicale, nécessaire à tous les stades de la maladie, est de retirer la plus grande partie possible de la tumeur, car plus cette dernière est petite, mieux elle réagit à la chimiothérapie», note le Dr Gotlieb.
La chimio est par la suite utilisée pour détruire les cellules cancéreuses non décelables et non extirpables. Elle peut également être administrée avant l'opération afin de réduire la taille de la tumeur. «Cela nous permet de faire une chirurgie plus complète lorsque la tumeur est très étendue ou moins invasive lorsque l'état de santé de la patiente est précaire», précise le gynécologue.
Un suivi régulier est ensuite indispensable pour s'assurer que la maladie ne se manifeste pas. Malheureusement, un grand nombre ( jusqu'à 80 %) de femmes atteintes connaissent une récidive. Dans la majorité des cas, une fois que le cancer de l'ovaire est réapparu, la maladie se chronicise et nécessite des traitements répétés. De plus, il revient généralement sous une forme de plus en plus résistante aux médicaments initialement utilisés et devient alors incurable.
La bonne nouvelle: grâce à la recherche moléculaire, on devrait dans un avenir proche disposer de meilleurs moyens de dépistage et de nouvelles modalités thérapeutiques qui permettront d'améliorer la survie des femmes atteintes. «On est en train de développer des traitements intelligents et personnalisés, qui cibleront les mécanismes moléculaires de la cellule cancéreuse afin d'en freiner la progression», soutient le Dr Gotlieb.
D'ici là, on demeure à l'écoute de son corps, on surveille les signaux d'alarme et on en parle aux femmes autour de nous. Des moyens simples et concrets qui pourraient sauver des vies.
Le cancer de l'ovaire est généralement traité par une association de chirurgie et de chimiothérapie. «Le but de l'intervention chirurgicale, nécessaire à tous les stades de la maladie, est de retirer la plus grande partie possible de la tumeur, car plus cette dernière est petite, mieux elle réagit à la chimiothérapie», note le Dr Gotlieb.
La chimio est par la suite utilisée pour détruire les cellules cancéreuses non décelables et non extirpables. Elle peut également être administrée avant l'opération afin de réduire la taille de la tumeur. «Cela nous permet de faire une chirurgie plus complète lorsque la tumeur est très étendue ou moins invasive lorsque l'état de santé de la patiente est précaire», précise le gynécologue.
Un suivi régulier est ensuite indispensable pour s'assurer que la maladie ne se manifeste pas. Malheureusement, un grand nombre ( jusqu'à 80 %) de femmes atteintes connaissent une récidive. Dans la majorité des cas, une fois que le cancer de l'ovaire est réapparu, la maladie se chronicise et nécessite des traitements répétés. De plus, il revient généralement sous une forme de plus en plus résistante aux médicaments initialement utilisés et devient alors incurable.
La bonne nouvelle: grâce à la recherche moléculaire, on devrait dans un avenir proche disposer de meilleurs moyens de dépistage et de nouvelles modalités thérapeutiques qui permettront d'améliorer la survie des femmes atteintes. «On est en train de développer des traitements intelligents et personnalisés, qui cibleront les mécanismes moléculaires de la cellule cancéreuse afin d'en freiner la progression», soutient le Dr Gotlieb.
D'ici là, on demeure à l'écoute de son corps, on surveille les signaux d'alarme et on en parle aux femmes autour de nous. Des moyens simples et concrets qui pourraient sauver des vies.