Trucs pour économiser: Téléphone, internet et cie...
Si vous êtes comme moi, les paiements préautorisés qui passent chaque mois dans votre compte bancaire le vident au fur et à mesure que vous tentez de le remplir.
REER, REEE, assurances (auto, vie et habitation), factures diverses: avez-vous déjà remarqué à quel point cette série de petits montants mis bout à bout finit par constituer une grosse somme au total? Avant de crier au secours, jetez un coup d'oeil à ces trucs tout simples qui vous aideront à réduire vos frais fixes... sans délai!
1. Téléphone, Internet et cie: Trouver le meilleur fournisseur Contrairement à la vie de couple, en matière de télécommunications, la fidélité ne paye pas! C'est du moins l'avis de Charles Tanguay, responsable des communications à l'Union des consommateurs. «Si les gens déboursent autant pour leur accès à Internet, leurs services de téléphonie - avec ou sans fil - et de câblodistribution, c'est principalement à cause de leur inertie!» soutient-il. Car il suffit de chercher un peu pour dénicher plusieurs petites compagnies qui offrent des forfaits intéressants à moindre coût. «Quand on sait que notre numéro de téléphone est transférable d'un fournisseur à un autre, on aurait bien tort de s'en priver », ajoute M. Tanguay. D'autant plus que les économies ainsi réalisées peuvent se chiffrer à 10 $, 20 $ ou même 30 $ par mois.
Autre cas fréquent:
Après une infidélité de votre part, votre ex-fournisseur de services vous propose des réductions substantielles, auxquelles vous n'auriez même pas osé rêver quand vous étiez une de ses clientes régulières... Il faut toutefois se méfier des forfaits à long terme (deux ou trois ans et plus), prévient Hélène Arsenault, conseillère budgétaire à l'ACEF Lanaudière. «Même si les rabais sont alléchants, dit-elle, n'oublions pas que beaucoup de choses évoluent en trois ans. Nos besoins peuvent changer, la technologie également, sans compter que nos revenus peuvent diminuer. Or, la pénalité encourue pour se départir d'un tel forfait est souvent très élevée.» Un pensez-y-bien.